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L’identité en Christ

Chère famille et chers amis de CIG

L'identité provient de la combinaison de qualités, de croyances, de personnalité, d'apparence et/ou d'expressions qui font d'une personne (ou d'un groupe) ce qu'elle est. Il existe de

nombreuses forces motrices qui influencent les humains vers ces marqueurs. Os Guinness, dans son livre The Call (L’appel), dit ceci:

Ainsi, les marxistes nous interprètent par des catégories de classe, les freudiens par des névroses d'enfance, les féministes par le genre, et les commentateurs pop de toutes sortes par des profils générationnels - comme « la génération silencieuse », les « baby-boomers », la « génération X » (ajoutez les Milléniaux et la génération Z). Et ainsi de suite


The Call est l'un de ces livres classiques auxquels je reviens de temps en temps. En le relisant, j'ai eu envie de partager certains des commentaires d'Os et les miens sur l'identité et l'appel.

e nombreuses forces fluides sont à l'œuvre pour faire de nous ce que nous sommes. Tout au long des différentes étapes de la vie, nous continuons à être façonnés et à changer. Voici quelques-unes de ces forces:


La responsabilité

Lorsque j'étais un enfant d'âge préscolaire, je jouais toute la journée et je mangeais des popsicles (glaces à l'eau) pendant les chaudes journées d'été. Lorsque je suis entré en première année, on attendait de moi que j'apprenne à lire, que je fasse d'interminables projets de collage et que je joue gentiment avec les autres élèves dans la cour de récréation. Les exigences se sont accrues à chaque niveau scolaire. En dernière année au secondaire, j'ai dû choisir un collège. À la fin de mes années collégiales, on attendait de moi que je trouve une carrière et que je commence à payer mes frais. Après le collège, il y a eu le mariage, puis les bébés, puis les bébés qui ont grandi, et maintenant les petits-enfants. Nous appelons ça « le cercle de la vie ». Chaque expérience au fil des années et des décennies qui s'accumulent fait des impressions et affecte la façon dont vous percevez votre identité.

Nous avons une identité alors que nous répondons au flux constant de responsabilités de la vie. Ce n'est pas la responsabilité en elle-même qui nous définit, mais plutôt la façon dont nous relevons les défis et ce que nous retirons de nos expériences. Un peu comme le dicton « Ce qui ne vous tue pas vous rend plus fort ».


La liberté

Il existe une notion selon laquelle nous pouvons nous inventer nous-mêmes, et plus c'est original, mieux c'est. Nous vivons à une époque où il ne suffit pas d'avoir une attitude d'acceptation, mais où, si nous ne nous joignons pas à la célébration de l'extrême, nous sommes contre. Nous poussons à être libre d'être qui nous voulons et, paradoxalement, nous exigeons des autres qu'ils nous soutiennent dans ce que nous faisons.

En Occident, nous avons la liberté de choisir d'être presque tout ce que nous voulons être. Nous pouvons également développer un style personnel et une expression unique à travers les coiffures, l'art corporel, les vêtements, etc. Quels que soient le temps et les efforts consacrés à la construction de l'image de soi, la véritable identité est plus un don de la société qu'une création personnelle. Peut-être que ce qui est dit lors de notre éloge funèbre est la représentation la plus claire et la plus précise de qui nous sommes, vous et moi. L'idée d'être libre d'être qui nous voulons semble, en fait, libératrice. Cependant, elle peut facilement nous conduire à vivre en dehors de notre identité.


La génétique

On vous a probablement appris que le code génétique constitué par la combinaison des gènes de votre mère et de votre père détermine des choses telles que la couleur de vos yeux, de vos cheveux, votre taille et même la taille de votre nez. Cela explique le sens de l'expression « la pomme ne tombe jamais loin de l'arbre ».

Nous avons beau nous battre contre notre ADN, nous ne pouvons pas faire grand-chose pour modifier le scénario de notre identité. Outre l'ADN, il faut ajouter la famille d'origine et l'influence des parents, ainsi que le contexte culturel et la fenêtre particulière de l'histoire humaine dans laquelle nous sommes entrés, et il semble que nous n'ayons pas grand-chose à voir avec notre formation. La combinaison de la nature et de l'éducation est forte.


Jésus-Christ

Guinness dit: « Ce n'est que lorsque nous répondons au Christ et suivons son appel que nous devenons notre vrai moi et que nous avons une personnalité propre. » Wow! Le véritable soi se trouve dans la relation avec le Créateur/Sauveur/Roi. L'ironie est profonde dans la mesure où de nombreuses personnes veulent faire croire aux autres qu'elles sont absolument sûres d'elles-mêmes, alors même qu'elles restent incertaines et ambivalentes vis-à-vis de Dieu. Et si la certitude de notre identité était placée dans le Dieu révélé en Jésus? Et si c'était le point de départ?


L'apôtre Paul le résume parfaitement dans sa lettre à l'église de Philippes.

Car les circoncis, c’est nous, qui rendons à Dieu notre culte par l’Esprit de Dieu, qui nous glorifions en Jésus-Christ, et qui ne mettons point notre confiance en la chair. Moi aussi, cependant, j’aurais sujet de mettre ma confiance en la chair. Si quelque autre croit pouvoir se confier en la chair, je le puis bien davantage, moi, circoncis le huitième jour, de la race d’Israël, de la tribu de Benjamin, Hébreu né d’Hébreux; quant à la loi, pharisien; quant au zèle, persécuteur de l’Église; irréprochable, à l’égard de la justice de la loi. Mais ces choses qui étaient pour moi des gains, je les ai regardées comme une perte, à cause de Christ. Et même je regarde toutes choses comme une perte, à cause de l’excellence de la connaissance de Jésus-Christ mon Seigneur, pour lequel j’ai renoncé à tout, et je les regarde comme de la boue, afin de gagner Christ, et d’être trouvé en lui, non avec ma justice, celle qui vient de la loi, mais avec celle qui s’obtient par la foi en Christ, la justice qui vient de Dieu par la foi, afin de connaître Christ, et la puissance de sa résurrection, et la communion de ses souffrances, en devenant conforme à lui dans sa mort, pour parvenir, si je puis, à la résurrection d’entre les morts. (Philippiens 3:3-11)

L'identité de Paul ne réside pas dans sa lignée, son éducation, son statut de rabbin, son respect de la loi et ses bonnes œuvres ni dans ce qu'il a accumulé dans cette vie. Connaître et être trouvé en Jésus est la réalisation, l'ultime, l'apogée et le catalyseur qui donne un sens à tout le reste. Une erreur courante que j'ai observée chez des personnes bien intentionnées est qu'elles se passionnent pour une cause et tentent ensuite d'y associer Jésus, au lieu de commencer par Jésus et de s'aligner sur ses objectifs. Mieux vaut rejoindre Jésus que de le détourner pour nos priorités perçues.

Galates 2:20 le dit le mieux:

J’ai été crucifié avec Christ; et si je vis, ce n’est plus moi qui vis, c’est Christ qui vit en moi; si je vis maintenant dans la chair, je vis dans la foi au Fils de Dieu, qui m’a aimé et qui s’est livré lui-même pour moi.

Notre véritable identité est celle d'un enfant de Dieu - Dieu en nous, à travers le Christ, par l'Esprit. C'est lorsque nous réalisons que notre identité est en lui que nous commençons à vivre dans la pleine réalité de qui nous sommes. C'est toujours...


Moi en Christ et Christ en moi!

Greg Williams

Traduit par Communion internationale dans la grâce,

Octobre 2021


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